L’ouverture de la saison du sport d’hiver est tant attendue par des millions de skieurs et de vacanciers. Les Alpes autrichiennes, avec leur magnifique décor naturel incomparable, lancent un défi pour développer le ski tout restant écologique. Bien que l’exploitation touristique des montagnes de glaciers fasse débat, les stations de ski du Nord essaient aussi de limiter les impacts des séjours au ski des vacanciers sur l’écologie, et les effets négatifs de l’aménagement géographique au profit des skieurs.

Le défi écologique des stations de ski

Les stations de ski de montagne et de ski en moyenne montagne sont les destinations privilégiées d’une dizaine de millions de touristes en une année. En plus de la nature verte et des glaciers, ce sport procure une sensation de bien-être pendant les séjours. L’exploitation des zones des alpages et des zones glaciaires a toutefois des effets négatifs sur l’écologie environnementale. En ce temps de réchauffement climatique, les séjours au ski sont alors vivement critiqués par de nombreuses entités de protection environnementale. Le ski est, à l’heure actuelle, taxé d’activité polluante. Dans une autre optique, ce constat ne fait pas l’unanimité, car beaucoup de gens se disent que l’exploitation des glaciers est avantageuse, et cela pour plusieurs raisons. Le développement du ski et de son monde permet en fait l’évolution du tourisme national. Les régions concernées peuvent bien tirer profit des investissements en rapport avec la pratique du sport d’hiver. En outre, la mise en valeur des glaciers a un effet positif sur l’économie.

Est-ce que ski et écologie peuvent aller ensemble ?

Bien que le ski ait un impact négatif sur le monde écologique, l’écotourisme évolue tout en recherchant les solutions adéquates au problème écologique lié aux sports d’hiver et à l’émission de carbone. En effet, les séjours au ski peuvent bien être passés dans les hébergements écolos qui respectent l’environnement. Le moyen le plus écologique qui soit c’est également de réduire l’émission de carbone et stopper la dégradation de l’environnement par une responsabilisation massive de toute l’humanité.