Après un séjour de rêve dans une destination lointaine, sous les tropiques où on passait ses journées à faire des découvertes de sites magnifiques et à nager dans des eaux turquoises et ses soirées et ses nuits à danser dans des clubs en plein air, il est tout à fait normal de ressentir profondément le blues post-voyage.

Comment se traduit le blues post-voyage ?

Après un séjour de rêve dans une destination lointaine, sous les tropiques où on passait ses journées à faire des découvertes de sites magnifiques et à nager dans des eaux turquoises et ses soirées et ses nuits à danser dans des clubs en plein air, il est tout à fait normal de ressentir profondément le blues post-voyage. On s’ennuie rien qu’à la pensée de reprendre le train-train quotidien, métro-boulot-dodo. On ne trouve aucun intérêt à intégrer de nouveau son box au travail et s’atteler à des tâches mille fois répétées pendant des année. Et alors, on a du mal à se lever le matin, on traîne les pieds, on trouve que tout est gris, que rien n’est beau, même ce gentil balcon fleuri et entretenu amoureusement qui nous réconfortait tant certains soirs d’hiver. Le blues post-voyage s’est bel et bien installé.

La première chose à faire avant le retour

Puisqu’il faut bien tourner la page, on est conscient qu’il faut absolument se replonger dans la vraie vie, il y a quelques étapes qui peuvent grandement aider. En premier lieu, avant de prendre l’avion du retour, il faut penser aux joies des retrouvailles, avec des amis, la famille, impatients d’écouter les récits et périples de notre voyage. Se rappeler qu’on a un sympathique appartement qui nous attend, un chien ou un petit poisson rouge qui s’est ennuyé sans nous, des fleurs auxquelles nos mots d’amour ont manqué. Et garder toutes ces belles pensées à l’esprit, durant le voyage de retour, permettent de mieux appréhender le retour au bercail et le savourer, déjà…

D’autres astuces pour lutter contre le blues post-voyage

Une fois rentré et après les effusions des retrouvailles, garder le contact avec les nouveaux amis que l’on s’est fait pendant son séjour est aussi une excellente chose. Ainsi, on a l’occasion de revivre des instants formidables vécus avec eux, peut-être même de programmer déjà une nouvelle aventure ensemble… Rester occupé permet également de mieux gérer le blues post-voyage. Si on est tout de suite obligé de reprendre le boulot, il faut s’en accommoder mais sinon, on peut se mettre au scrapbooking pour y inscrire et coller toutes les photos ou les souvenirs de voyage. Un montage vidéo de ses aventures, ouvrir un blog pour partager ses émotions etc. sont tous des moyens pratiques de ne pas déprimer après les vacances.

(Ré) instaurer de bonnes habitudes

Le retour des vacances est parfois aussi l’occasion de (re)prendre de bonnes habitudes et une meilleure hygiène de vie : dormir à des heures fixes et pas trop tard, faire des exercices physiques, marcher régulièrement, manger 5 fruits et légumes par jour, bref, se remettre à l’heure du quotidien mais de la bonne manière. Car il faut bien retourner à la vie normale, et d’ailleurs, ne pas oublier que rentrer permet de repartir plus tard. Il faut bien travailler afin de gagner de nouveau de l’argent, économiser et préparer ses futurs voyages.

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